MAXIME LACROIX AUTEUR
UNE HISTOIRE DIGITALE
Qui est l’auteur Maxime Lacroix ?
Journaliste de formation, j’ai traité un nombre conséquent de publications sur des sujets légers ou sensibles dans quatre régions différentes sans fausse note. A l’âge de 45 ans, je disposai d’un poste confortable au sein d’un titre connu. Confortable et ronflant. Je me levais chaque matin à la même heure, pour parler aux mêmes gens, déjeuner avec les mêmes collègues et traitais de sujets qui finissaient par se ressembler dans une espèce de brume vaporeuse où je me dissolvais. Un reportage m’informa que le terme rapporté à ce sentiment était celui de « salarié zombie ». « Mieux vaut exister dans le danger, que vivre dans l’ennui ». Allez savoir pourquoi, cette citation tirée d’un roman de Robert McCammon m’est revenue à ce moment-là. Peut-être parce que j’allai devenir Maxime Lacroix l’auteur.
Du journalisme au numérique
Alors, comme beaucoup de gens je me suis livré à une introspection personnelle. Il en est ressortit que mon obsession de la sécurité était maladive. Parcours universitaire sans heurt, emploi stable, maison, famille, la pelouse qu’on tond le week-end, les barbecues en été et surtout ne jamais prendre de risques. Ne rien changer, des fois qu’il arriverait quelque chose qui bouleverserait ma vie rangée. Pendant ce temps-là, le monde évoluait. Je me voyais dans quelques années me retrouver à des terrasses de café pour dire « c’était mieux avant » avec des connaissances qui ne remettraient jamais en cause mes propos.
Donc, j’ai quitté mon poste et entrepris une « conversion numérique » à l’âge de 46 ans, avec les aptitudes pour la technologie d’un Néandertalien. Mes amis me disaient que c’était n’importe quoi. On ne s’investit pas dans le domaine du digital à mon âge quand on n’y connaît rien. Un argument rationnel, sauf que j’avais donné trente ans dans ma vie à la rationalité et estimai qu’une période de délires était bienvenue. Ils avaient raison c’était n’importe quoi. Une décision de séries télé où l’on martèle de vivre ses rêves sans se préoccuper des factures à payer.
Devenir auteur comme moteur
Mais s’engager dans un tel tournant sans une vraie motivation était voué à l’échec. La mienne était claire. J’avais toujours voulu devenir auteur. Cette passion allait constituer le bâton sur lequel m’appuyer. En deux mois j’ai appris la suite Google, à maîtriser Canva, Photopea, Cap Cut, les réseaux sociaux et passer la certification Google des fondamentaux du marketing digital. Les dix mois suivants, une formation en alternance allait m’enseigner les bases du SEO, la construction de sites internet, le vocabulaire digital, Google Analytics et tant d’autres choses, aux côtés d’une bande de jeunes qui ont cru la moitié de l’année que j’avais confondu l’inscription à cette formation numérique avec celle d’un club de belote et que personne n’avait osé me le dire. Je m’en sortais très bien.
Désormais plume et pixels
Les réalisations de l'auteur
S’engager dans le numérique à partir de zéro n’est pas anodin. Sur cette page, je vous présente les premières réalisations qui m’ont aidé à prendre en main le digital.
Les outils ont changé, pas le monde. Les objectifs sont toujours les mêmes et ces pratiques numériques qui font peur, n’ont jamais été aussi accessibles. L’heure est aux créatifs, aux idées innovantes et à l’apprentissage permanent. Quant à mon projet, j’ai créé mon site internet, ma couverture de livre, sais lancer des promotions littéraires sur le réseaux sociaux et décliner des produits. Surtout, je suis désormais familier de ce nouveau monde qui nourrit mes intrigues. J’allai devenir l’auteur Maxime Lacroix.
Je suis devenu une plume numérique.